17h à ELIZALDIA, INAUGURATION
repli à Sanoki en cas d’intempérie
PALABRES – SPECTACLE :
“FAIRE ORCHESTRE” I
Les “Solasaldi” sont l’âme du festival, des moments de paroles et de musique uniques,durant lesquels public et invités ont l’occasion d’échanger, de se rencontrer. Cette annéenous poserons la question du “faire orchestre”. Comment la différence, au-delà de sanature enrichissante, est-elle tout simplement essentielle à l’envol d’un mouvementcollectif, sachant transcender les individus ?
Avec : Kimilia, Nout, Kimu Txalaparta…
19h repas, talos, bar, musique...
à Atharri
21H30 CONCERTS à ATHARRI
KIMU txalaparta
à Atharri – salle
Txalaparta
Nous ne pouvions faire une édition d’Errobiko Festibala sur “l’orchestre” sans inviter des txalapartaris. Pour être, “pour jouer txalaparta” – cet instrument composé de madriers frappés verticalement – il faut être deux. Les deux musiciens s’unissent et font alors exister un instrument, une musique, un dialogue vivant, en mouvement perpétuel.
Txomin Dhers et Sergio Lamuedra ouvriront le festival, avant d’entrer en interaction avec l’ensemble basco-géorgien Kimilia-Kantari, créé pour l’occasion.
KIMILIA KANTARI - création
à Atharri – salle
L’ensemble Kimilia, basé à Tbilissi a été fondé en 2018 par la chanteuse française Zoé Perret, avec ses amis géorgiens. Zoé Perret, française arrivée en Géorgie en 2006, partage cette passion avec les autres membres, Zura Andguladze et Koka Khijakadze – respectivement nés à Achara et Samegrelo.
Kimilia – « trésor » en géorgien ancien – s’efforce principalement de faire revivre à sa manière des joyaux de la polyphonie. Pour les interprètes, les interactions avec les détenteurs de la tradition et l’écoute active des enregistrements d’archives constituent la base sur laquelle ils plongent profondément dans les dialectes musicaux. La pratique des chanteurs s’inspire alors d’une approche innovante basée sur la libération de la voix et sa reconnexion avec le corps.
Cette année, Ezkandrai leur a proposé de venir à la rencontre de chanteurs et chanteuses basques, pour expérimenter et transmettre l’essence des polyphonies géorgiennes. Entre Caucase et Pays Basque, ce concert sera le fruit de quatre jours d’échanges, de transmission et de joie partagée dans le chant.
Distribution :
Zoé Perret, Koka Khijakadze, Julen Achiary, Beñat Achiary, Maddi Oihenart, Bixente Etxegaray, Claudine Arhancet, Mathieu Mendizabal, Ihitz Iriart, Maia Iribarne, Jon Itzaina, Colinne Florence, Ioana Lemoine, Agathe Pitarch
Nout
à Atharri - salle
Chainon manquant entre Nirvana et Sun Ra, l’alliance Delphine Joussein-Rafaëlle Rinaudo-Blanche Lafuente s’applique à pousser leurs instruments dans leurs derniers retranchements, avec l’enthousiasme du savant fou devant ses fioles. Flûte, harpe, batterie : un mélange rare que le trio met sens dessus dessous. Dans le sillage des expériences de John Zorn aux confins du jazz et du noise, Nout imagine ses morceaux comme de véritables scénarios à rebondissements : on se croit dans Alien et on se retrouve dans Indiana Jones ; on débute les yeux fermés sur des sièges rouges et on termine en pogo sur le dancefloor.
Delphine Joussein : flute, fx
Rafaëlle Rinaudo : harpe électrique
Blanche Lafuente : batterie
00h00 SCÈNE OUVERTE, LE BAL DES BATOUTOS I
à Atharri – chapiteau
Les Batoutos veillent partout où nos espérances n’ont pas rencontré nos actions. Ainsi les rêvons-nous davantage que nous ne les connaissons… Instruments et corps endiablés bienvenus, pour électriser la nuit sous les étoiles d’Itxassou !
PROGRAMME JOUR PAR JOUR
Pré-Festival : samedi 15
Festival : jeudi 20 – vendredi 21 – samedi 22 – dimanche 23 juillet